Page:Coppée - Œuvres complètes, Poésies, t1, 1885.djvu/147

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Croulante sous l’assaut fantasque des houblons
Et de loin devinée à son odeur d’étable,
Où, vers le soir, dans la salle basse, on s’attable ;
Et, tout en caressant son menton amaigri,
Heureux, tendre, oubliant déjà son mal guéri,
Qui lui fut un miroir des amitiés fidèles,
Il songe au tout prochain retour des hirondelles.