Page:Cottin - Œuvres complètes, Ménard, 1824, tome 2.djvu/50

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côté, apercevant sur les lèvres de M. Prior un léger mouvement qui retenait un sourire, elle s’en étonna, car le discours de sa cousine lui avait paru fort sensé. Mais toutes ses idées furent bientôt écartées par les souvenirs douloureux qui la poursuivaient sans cesse, et avant la fin du repas elle demanda et obtint la permission de se retirer.