Page:Cottin - Œuvres complètes, Ménard, 1824, tome 9.djvu/302

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cœur déchiré en répand encore ; toutefois elle ne demande point à Dieu de lui ôter sa douleur, car elle ne veut point s’en séparer : sa douleur qui se lie, s’unit, s’attache au souvenir de Malek-Adhel, est, en ce moment, sa seule consolation et le bien le plus précieux qui lui reste.


FIN DU NEUVIÈME VOLUME.