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Page:D - Les Callypiges, 1892.djvu/323

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engloutissant ou laissant tour-à-tour la chemise dressée.

Parfois l’homme vous prend debout face à face, et, arc-bouté à vos épaules, il vous fouille vigoureusement, vous secouant comme un prunier, frottant rudement à chaque allée et venue le bouton, qui est sur le bord, tandis que les verges par derrière vous rendent un bon office.

L’homme est assis sur une chaise, vous l’enjambez, il vous aide à vous enfourcher, et vous faites encore ici tout l’ouvrage, aidée par les verges, qui réchauffent et excitent votre postérieur en saillie sur les cuisses de votre monture.

Le mâle est fatigué, il ne peut vous rendre immédiatement service. On lui administre un aphrodisiaque cinglant, et dès qu’il est en état, il prend position sur celle qui doit avoir son tour, offrant son postérieur aux cinglées de l’autre, qui l’entretient dans de bonnes dispositions, en stimulant sa vigueur par une saine distribution de coups de verges.

Le sire a besoin de repos ; vous, au contraire, vous êtes mieux disposée que jamais, n’ayant