Page:D - Les Callypiges, 1892.djvu/324

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pas les mêmes raisons que lui pour être lasse, et vous ne voulez pas languir ; le mâle s’étend sur le dos, vous l’enjambez sur la figure, vous descendez votre chat sur ses lèvres, de façon à obliger sa langue à vous rendre le service que son engin affaissé vous refuse, et pendant qu’il vous fête délicieusement, et que votre amie vous fustige gentiment, essayez sur le sire endormi de l’influence magnétique de votre douce main blanche, vous verrez le gaillard bien vite réchauffé par le doux satin qui le patine, et aussi par la charmante occupation de son maître, et vous pourrez recommencer la lutte virile sur de nouveaux frais.

Qui de vous, mesdames, veut se prêter à des expériences.

Toutes les assistantes, y compris les conférencières et les deux servantes se lèvent d’un commun accord. Cette unanimité n’a rien de surprenant, toutes sont des adeptes ferventes de la volupté par cette méthode.

La température de la salle permettant de se déshabiller, nous nous mettons toutes nues, en