Page:Dante - Rimes, 1847, trad. Fertiault.djvu/253

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Nous rencontrerons dans ce recueil, surtout vers les derniers livres, un certain nombre de pièces contestées à notre auteur, et dont en effet l’authenticité n’est pas parfaitement prouvée. — Nous les indiquerons, sans rien débattre, l’original que nous suivons ayant donné ses raisons ou ses preuves, et notre but étant ici de traduire et non de nous arrêter à faire parade d’érudition.

Sonnet sut (page 93).

Celte pièce nous a semblé obscure. Le sommaire a fait quelque effort pour tâcher de la rendre claire nous désirons vivement avoir avancé un pas dans ce sens, mais nous sommes malheureusement presque certain de n’y avoir pas tout à fait réussi.

Sonnet xiv (page 94).

Dans un recueil intitulé : Opéra moralissimadi diversi, ce sonnet est cité comme étant d’un auteur incertain.

Sonnkt xv (page 95).

C’est sans doute par un retour au souvenir de sa chère Béatrice que Dante refuse les avances de la dame dont il est question dans ce sonnet. — La ticlion dont il se sert est singulière ; mais on voit toujours qu’elle émane dun esprit créateur et puissant.

Les guillemets doivent se fermer à la lin de la troisième stance.