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TABLE

DU SECOND VOLUME.


Pages.
DE L’HÉRÉDITÉ
Nature merveilleuse de l’hérédité. — Généalogies de nos animaux domestiques. — L’hérédité non due au hasard. — Hérédité des moindres caractères. — Hérédité des maladies. — Particularités de l’œil. — Maladies du cheval. — Longévité et vigueur. — Déviations asymétriques de structure. — Polydactylie, et régénération de doigts surnuméraires après amputation. — Cas d’enfants ayant des caractères semblables, ne se trouvant pas chez leurs parents. — Hérédité faible et vacillante ; dans les arbres pleureurs, nains, et dans la couleur des fruits et fleurs. — Couleur des chevaux. — Cas non héréditaires. — Hérédité de conformation et d’habitudes, annulée par des conditions extérieures contraires, par une variabilité continuelle, et par les effets de retour. — Conclusion.


HÉRÉDITÉ (suite). — RETOUR OU ATAVISME.
Différentes formes de retour. — Dans les races pures ou non croisées de pigeons, volailles, bétail et moutons ; dans les plantes cultivées. — Retour chez les animaux et plantes redevenus sauvages. — Retour chez les variétés et espèces croisées. — Retour par propagation de bourgeons, et par segments dans une même fleur ou fruit. — Par différentes parties du corps dans un même animal. — Le croisement comme cause directe de retour. — Cas divers, instincts. — Autres causes prochaines de retour. — Caractères latents. — Caractères sexuels secondaires. — Développement inégal des deux côtés du corps. — Apparition avec l’âge de caractères dérivant du croisement. — Objet admirable que le germe avec tous ses caractères latents. — Monstruosités. — Fleurs péloriques dues dans quelques cas au retour.


HÉRÉDITÉ (suite). — FIXITÉ DES CARACTÈRES. — PRÉPONDÉRANCE. — LIMITATION SEXUELLE. — CORRESPONDANCE DES ÂGES.
La fixité des caractères n’est pas due à l’ancienneté de l’hérédité. — Prépondérance de transmission dans des individus d’une même famille, dans les races croisées et les espèces ; souvent plus forte dans un sexe que dans l’autre ; quelquefois due à la présence d’un même caractère visible dans une race et latent dans l’autre. — L’hérédité limitée par le sexe. — Caractères nouvellement acquis chez nos races domestiques, souvent transmis, quelquefois perdus par un sexe seul. — Hérédité aux époques correspondantes de la vie. — Importance du principe au point de vue de l’embryologie ; démontrée par les animaux domestiques ; par l’apparition et la disparition de maladies héréditaires ; et leur apparition plus tôt chez l’enfant que chez le parent. — Sommaire des trois chapitres précédents.