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Page:De Lambel - Marguerite de Lorraine, duchesse d’Alençon, 1862.pdf/109

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CHAPITRE IV

elle pleurait amèrement ses fautes et ne concevait pas que la grâce du pardon pût leur être accordée.

« Les jours de communion, elle se sentait tellement transformée, dit le P. Magistri, que sa figure rayonnante trahissait souvent la ferveur de son âme. Quelquefois même son émotion intérieure était si grande, elle était tellement embrasée de l’amour céleste, qu’elle était contrainte de s’en aller à son petit oratoire pour s’entretenir avec Dieu. »


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