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Page:De Lambel - Marguerite de Lorraine, duchesse d’Alençon, 1862.pdf/58

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MARGUERITE DE LORRAINE

souvent et à trop juste titre les plaintes des justiciables. René résolut de mettre un terme à de si déplorables abus ; les hommes d’une conduite mauvaise, de sentiments douteux furent écartés ; des sujets instruits et irréprochables furent appelés à les remplacer. Une protection et des garanties nouvelles furent octroyées aux veuves, aux orphelins et aux pauvres.

L’entente entre l’Église et le pouvoir civil assure au clergé la liberté d’action si utile au succès de son ministère ; elle facilite tous les efforts tentés dans le but de faire aimer la vertu, et contribue à répandre dans les âmes la source la plus féconde de la paix et du bonheur. Depuis quelque temps, des conflits, des malentendus regrettables avaient