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CHAPITRE II

nut d’avance les approches ; il reçut tous les secours de l’Église. Marguerite, navrée se montra plus forte que sa douleur ; elle lui suggéra les sentiments de l’espérance et de l’amour, elle l’assista jusqu’à la dernière heure et recueillit les plus touchants adieux. Elle conserva de ces suprêmes entretiens un triste mais consolant souvenir, et une impression profonde de confiance dans le salut de celui qu’elle avait perdu.


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