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Mais ne déplorons plus ces erreurs matérielles qui consistent à demander à l’étranger nos chevaux de troupe, à dépenser des sommes exorbitantes pour l’entretien d’institutions contraires à la véritable économie politique et à la science chevaline, et continuons à marcher dans cette voie, encourageons nos voisins d’Outre-Manche et d’Outre-Rhin, à produire de bons chevaux en leur en assurant le débouché. En un mot, gaspillons pour notre fortune et laissons faire ; l’avenir nous dira son dernier mot !



Dans un dernier paragraphe je faisais l’analyse des encouragements que l’on donne ou que l’on devrait donner pour améliorer nos chevaux, le temps me manque, je suis donc forcé de m’arrêter.