Page:Delille - L Homme des champs 1800.djvu/100

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

Un pont joint à ses bords ce fortuné séjour,
Sacré par le malheur, plus sacré par l’amour ;
Mais son art l’affermit, et l’onde mugissante
Vient briser sur ses bords sa colère impuissante.
Ainsi cette île errante eut un frein dans les flots,
Le bonheur un asile, et l’amour sa Délos.