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reste dans la véritable tradition de la sociologie positive (p. 310).}}

La théorie thomiste, terrain de ralliement. Comment, à leur insu, des sociologues s’en rapprochent (p. 317).
4. Les variations de la morale 
 321
Toutes les théories morales des philosophes, accusées de prétendre à l’universalité et à l’immutabilité (p. 321).
La diversité des règles de conduite, des lois et des institutions, reconnue par saint Thomas (322).
Il l’explique par trois causes (p. 326) :
I (p. 327). L’influence des passions.
II (p. 328). L’inégal développement de la raison, des lumières, de la civilisation. — Son opinion sur les primitifs ; sur la formation du droit ; sur l’origine des interdictions de mariage entre parents.
III (p. 335). La diversité des milieux, des situations, des circonstances. — Sa théorie sur l’interprétation du droit.
5. Déduction et adaptation 
 345
Usage exclusif de la méthode déductive, reproché aux moralistes (p. 345).
Saint Thomas constate l’emploi de deux procédés : la déduction et l’adaptation (p 346).
Importance de cette constatation (p. 347).
L’évolution du droit d’après les sociologues et d’après saint Thomas (p. 351).
La relativité des lois d’après Montesquieu et d’après saint Thomas (p. 352).
Deux règles de la méthode thomiste (p. 353).
6. La morale sociale 
 354
Critique adressée à la méthode habituelle des moralistes. En quelle mesure elle est fondée (p. 354).
Le problème de la propriété. Comment saint Thomas le pose et le résout (p. 355).
Le problème de la famille. Méthode du législateur de 1792. Les études de sociologie animale, recommandées par Comte. Travaux de M. Espinas et de M. Westermarck. Comment saint Thomas utilisait déjà l’observation des animaux (p. 358).