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IDYLLES.

•e uva evava •, a^a vu a vvava •.v, va’awave eve.v, •a avva ave, e u, ºvº º^a^º°º/º^ºº^ ^º^º » º*-^^ º ^^-

LE SOIR D’ÉTÉ. 9@9@9@9@ 9 @ 9 s

VENEz, mes chers petits ; venez, mesjeunes âmes ; Sur mes genoux, venez tous les deux vous asseoir. Au soleil qui se couche il faut dire bonsoir : Voyezcommeilestbeau danssesmourantes flammes ! Sa couronne déja n’a plus qu’un rayon d’or : Demain, plus radieux vous le verrez encor ; Car on ne l’a point vu s’enfuir sous un nuage. La cigale a chanté ; nous n’aurons point d’orage : — Ce soleil mûrira les fruits que vous aimez ; Il vous rendra vos jeux, vos bouquets parfumés. Dès qu’il s’éveillera, je vous dirai moi-même : I O.