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n,49« XVII. — Janvier 1630. 105

(Adrejfe) A Monfieur

Monfieur le Reu nd Père Marin Mercenne a Paris.

Page 83, 1. 7. — Descartes ne parait avoir vu ces couronnes qu'en 1 635 ; voir sa lettre à Golius du 9/19 mai 1 635.

Page 90, 1. 18. — Cette opinion de Beeckman se trouve soutenue dans les trois premières lettres que nous possédons de lui à Mersenne (Bibl. Nat. fr. n. a. 6206, f° 43, p. 75 — f» 40 v», p. 70 — f* 33 v°, p. 56), et dont la dernière est du i w octobre 1629. Il la maintient toujours dans ses lettres postérieures (3o avril i63o, ibid. f* 37, p. 63 — 3o mai i633, ibid. f°42 v°, p. 73). Il l'avait déjà enseignée à Gassend, lors du voyage de celui-ci avec Luillier dans les Pays-Bas (de la fin de 1628 au 8 août 1629), ainsi qu'il ressort de l'ouvrage posthume publié par le frère de Beeckman [Mathematico-Physicarum Meditationum, Quœstionum, Solutionum Cen- turia, 1644, p. 45). « Tune docui punctum squalitatis in cadendo inves- tigare. »

XVII.

Descartes a Mersenne.

Amsterdam, Janvier i63o. Texte de Clerselier, tome II, lettre io5 fin, p. 491-497.

L'exemplaire de l'Institut marque cette seconde partie de la lettre II, io5 de Clerselier comme formant une lettre à part datée d'Ams- terdam le zS janvier 16S0. « V. p. 7 du nouveau cahier », ajoute la note manuscrite. Il n'est pas douteux, en effet, quelle ne soit intermédiaire entre les lettres du 18 décembre 162g et du 2S février 16S0, et il ne semble point qu'il y en ait eu d'autres à Mersenne pendant cette période de dix semaines, dont le milieu tombeau lundi 21 janvier i63o.

Je fuis marry de voftre erefypele, & du mal de M. M. a ; ie vous prie de vous conferuer, au moins iuf-

a. « Montais » d'après la fin de la lettre XVI, p. 104, 1. 21.

Correspondance. I. 14

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