Page:Descartes - Œuvres, éd. Adam et Tannery, III.djvu/180

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i68 Correspondance. m, 66.

mais qu'ils ne pouuoient dire quand ils commence- roient, & qu'vn d'eux iroit bien-toft à Paris, qui vous en parleroit. le fuis,

Mon R. Père,

Voftre tres-humble & tres-obeïiïant 5 feruiteur, descartes.

Du 30 Aoufl 1640.

CCV.

Descartes a Mersenne.

[Leyde, 3o août 1640.] Texte de Clersclier, tome III, lettre S, p. 66-70.

Sans date dans C ter seller. Mais elle a été écrite le même jour que la précédente (p. 160, l. i3) et envoyée, comme elle, seulement le 1 5 septembre {voir la lettre CCVI ci-après). Clerselier fait suivre le texte latin de Descartes d'une version française, lettre g, p. jo-yô.

Reuerendiffime Pater,

Cùm mese ad Redorem Collegij Claromontani lit- terae", nondum ei traditae, fed à D. Martigny , rus lo forfan ituro, apud Reuerentiam veftram relidae fint, operae pretium eft, vt confilium quod in ijs fcribendis fum fecutus, hîc exponam. ludico enim amiciffimum illum & prudentiffimum virum, ad quem ipfas mife-

a. Lettre CXCV, p. 97 ci-avant.

b. L'exemplaire de l'Institut corrige ainsi avec raison (p. 76, version) le nom de Mydorge, que donne Clerselier. Le MS. donnait sans doute l'initiale M. seulement. Cf. t. II, p. 633, 1. i5, et p. 596, 1. 12.

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