Page:Descartes - Œuvres, éd. Adam et Tannery, III.djvu/381

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1.396. CCXXXIX. — Mai 1641. 369

» tractjones; hinc carmina satyrica, quibus utriusque partis Philosophia » cum suis disputatoribus laudata aut traducta, quorum primam originem » cum Medici asseclis (quin et ipsi Medico, quem carmen ejusmodi in « Typographeio corrigentem deprehcndisse se diccbant) tribuercnt stu- B diosi: putabantsibi non minus licitam esse receptaj et innocuae Philoso- " phiaî justam defensionem, quam aliis ejus temerariam derisionem. k (P. 18-19, Testim. Acad. Ultr. et Narrât. Hist., etc.)

Voir les réponses de Descartes, lettres CCXXXIX et CCXL ci-après.

��CCXXXIX.

Descartes a Regius.

[Endegeest, mai 1641.I Texte de Clerselier, toxe J. lettre 85. p. 3oC.

Sans date dans Clerselier. Mais c'est une réponse partielle à la lettre qui précède [p. 365) ; elle fut envoyée par Descartes V avant-veille de la suivante, lettre CCXL, comme on le voit par la dernière phrase de celle-ci. — 5/ l'envoi spécial de la pièce qui suit semble devoir faire supposer, entre Regius et Descartes, des communications pos- térieures à la lettre ci-dessus du i" mai, on peut croire que ces com- munications auront eu lieu par l'intermédiaire de M. l'an Sureck {voir ci-après, page 3-; 4. l. 6].

Vir Clariffime,

Tota noftra controuerfia de anima triplici, magis eft de nomine quam de re.

Sedprimp, quia Romano-Catholico non licet dicere animant in homine efTe triplicem, vereorque ne mihi homines imputent quod in tuis thefibus ponis, mal- lem ab ifto loquendi modo abflineas.

2 Etfi vis vegetandi & fentiendi in brutis fint adus

Correspondance. III, 47

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