Page:Descartes - Œuvres, éd. Adam et Tannery, III.djvu/390

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jj8 Correspondance. 1,300-307.

��CCXLII. Descartes a [Mersenne].

■27 mai 1Ô41 : \"ersion française de Cierselier, tome I, lettre 112, milieu, p. 3oô-3o9.

Cette lettre 112 de Cierselier se compose de trois parties : la pre- mière est notre lettre XXII, du 6 mai lôSo, t. I, p. 14-. et la der- nière, notre letti-e LXX, de mars i63~, t. I, p. 84-. Entre les deux est ce fragment postérieur aux Méditations. Xous le plaçons ici. a tout hasard, parce que, dans la lettre CCXXXVII [p. 36o, l. 7), // est question du même sujet {liberté d'indifférence , et que Descartes y revient encore dans la lettre CCXLII', du 23 juin 1641 , n°3 et n 8. Peut-être ce fragment faisait-il partie d'unelettre perdue, du 2- mai 1641 , la 41' de La Hire, /r [35 du classement de dom Poirier"". — L'exemplaire de rinstitut donne rindicatio)! suivante : « Da>is les tnanuscrits de M. D.,j'ai trouvé cet alinéa jusqu'au suivant, écrit en latin, fort raturé et griphoné.. . C'est un article qu'il faudra rejeter dans l'endroit des lettres non datées, et qui ne méritent d'être ramas- sées qu'à cause de la matière dont elles traitent. Vore:{ la page 1 1 1 de ce nouveau cahier. » — D'après Baillet, le R. P. (/. 2) serait le P. Gibieuf

Pour le Libre Arbitre, ie fuis entièrement d'accord auec le R. P. Et pour expliquer encore plus nettement mon opinion, ie délire, premièrement, que l'on re- marque que rindiffcrence me femble lignifier propre- ment cet état dans lequel la volonté fe trouue, lors qu'elle n'ell: point portée, par la connoiiîance de ce qui efl: vray ou de ce qui eft bon, à fuiure vn partv plutoft que l'autre; et c'eii en ce fens que ie l'ay

a. Sur une mention de cette lettre par Baillet, voir ci-après le dernier éclaircissement de la lettre CCXLIV, p. 3qo.

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