Page:Descartes - Œuvres, éd. Adam et Tannery, III.djvu/394

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}^2 Correspondance. ir, 200-297.

tain que noftre volonté fe meut alors plus facilement & auec plus d'impetuofité^.

��CCXLIII.

Descartes a Mersenne.

[Endegeest, 16 juin 1641.] Texte de Clerselier, tome II, lettre 54. fin, p. 2g6-:97.

L'exemplaire de l'Institut donne en marge la note suivante : « Cet » article n'est point de cette lettre, mais de la 42^ des MSS. d( La » Hire, datée d'EnJegeest, ce 16 juin 1641 . •> Cette 42' lettre, dont la plus grande partie nous manque sans doute, était au reste le >!° [36] du classement de dom Poirier. Xous avons en tout cas détaché le fragment qui suit de la lettre CCXXXVII , du 21 avril 1641, [voir p. 363 ci-avant note b , pour le donner après la lettre CCXLI, du ig mai, à laquelle il parait être line première réplique. Descartes répondant plus amplement, lettre CCXLV ci-après,

le ne fais point encore réponfe aux deux petits feuillets dOhjeélions que vous m'auez enuoyées, à caufe que vous me mandez que ie les pourray ioin- 5 dre auec celles que ie n'ay pas encore receuës, bien que vous me les ayez enuoyées il v a huit iours. Mais à caufe que celuy qui demande ce que i'entens par le mot Idea, femble promettre dauantage d'Objections, & que la façon dont il commence me fait efperer que lo celles qui viendront de luy feront des meilleures li des plus fortes qui fe puilTent faire, fi par hazard il attendoit ma réponfe à cecy, auant que d'en vouloir

a. « Icy finit ce fragment. » 'Exemplaire de l'Institut.

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