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Page:Descartes - Œuvres, éd. Adam et Tannery, III.djvu/593

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CCLXXXV. — n Octobre 1642. 581

Page 579, 1. 22. — Mairits HlY(if.ns, né à La Haye le 12 mal iSuS. frère aîné de Constantin Huygens. venait de mourir. On lit. à ce sujet, dans le Dagbokk de ce dernier :

« 12 Sept. [1642 . Ad Gennepam considcmus. Princeps in urbc. »

« 21 — Vocor Hagam ad charissimum fratrem œgrum. »

« 22 — Disccdo Gcnncpa afHictissime! »

« 23 — \ccedo 9' matutinà, et ab œgro amplexibus ardentis-

» simis excipior. »

« 24 Sept. Obit lo-' vcspcrtinà l'nicus tratcr et amicus meus, constante » judicio Christianissimo ad tinem. Heu ! pulcherrimiim, piissimumquc » rineml Sic miiii fus, et nieis, o meus Deus' et sileo. quia tu lecisti. ■■

ic 2 Octob. Tcrrx' mandamus cadavcr Irairis optimi. »

« Il — Cum Glezer Hagà discedt)... »

��CCLXXXV.

Descartks a Mersenne.

Eneiegecst, 1!^ octobre 1642. j Autographe, Bibliothèque de l'Institut.

Sans date dans l'autographe, et sans nom de destinataire. Mais la lettre CCLXXXVII ci-après, à Mersenne, fixement datée du 20 oc- tobre 1642, renvoie à celle-ci comme écrite « ily a 8 iours » [p. 58g, l. 2 1] et adressée au même. Elle est donc bien à Mersenne, et du i3 octobre 1642. — L'original porte les cotes : (68), du classement de dom Poirier, et 2 ; c'était donc la 82"" lettre de la collection La Hire. Il contient, au second feuillet, la copie de la lettre au P. Bour- din, ci-avant page 5-; 5, lettre CCLXXXIL

Mon Reuerend Père,

Depuis que ie me fuis pleint a noftre meflager qu'il

m'apportoit des letres ouuertes, il ne le fait plus,

mais en rccompenfe il les retarde; car ie n'ay receu

5 vos ) dernières que cete femaine, & mefme i'auois

peur que vous ne fuiTiez indifpofé, a caule que vous

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