628 Correspondance. i, -*.
mefraes principes. Ieprieray Mad. L. a de faire ioindre ces deux liures, qui ne font pas gros, auec les pre- miers paquets qu'il luy plaira enuoyer par Hambourg, à quoy ie ioindray la verfion Françoife de mes Médi- tations, fi ie les puis auoir auant que de partir d'icy, car il y a défia affez long-temps qu'on m'a mandé b que l'impreffion en eft acheuée. le fuis, &c.
��CDLXXIII.
Elisabeth a Descartes. Berlin, 1 1 avril '1647].
Copie MS., Rosendaal, près Arnhem, Collection Pjlljndt. n° 22. p. I25't3s.
Publiée par Foucher de Careil,p. 1 23-123, Descartes et la Prin- cesse Elisabeth (Paris, Germer-Baillière, iSjg). Réponse à la lettre précédente, p. 624. Descartes y répondra par la lettre du 10 mai ci-après. Comme variantes, les leçons de Foucher de Careil.
Monjieur De/cartes,
le n'ay point regretté mon abfence de La Haye, que depuis que vous me mandc^y auoir ejié, & que ie mefens 10 priue'e de la fatisfaclion que ie foulois auoir en vojlre con- uerfation, pendant le feiour que vous y faijie^; il me fem- bloit que i'en partois toutes les fois plus raifonnable, & encore que le repos que ie trouuc icy, parmy des pcrjonnes qui m ' affeclionnent & m'cjliment beaucoup plus que ie ne i5
a. Compléter Madame la Princesse Sophie, plutôt que Madame Louise. qui ne parait pas conforme à l'étiquette ?
b. Ci-avant, lettre CDLVIII. p. 563.
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