Page:Doyle - Nouveaux mystères et aventures, trad Savine, 1910.djvu/190

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Nous pensâmes donc que le meilleur parti à prendre était d’aller là-bas, dans la colonie du Cap.

Donc, pour couper au plus court, nous nous embarquâmes, et nous débarquâmes au Cap, avec un capital de moins de cinq livres, et alors nous nous séparâmes.

On tenta la chance dans bien des directions, l’on eut des hauts et des bas, mais au bout du compte, quand le hasard, après trois ans, eut amené chacun de nous dans le haut pays, où l’on se rencontra de nouveau, j’ai le regret de dire que nous étions dans une situation aussi embarrassée qu’à notre point de départ.