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Page:Dubos - Réflexions critiques sur la poésie et sur la peinture, Tome 2,1733.djvu/245

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sont morts sans avoir encore été remplacez, et que les Raphaëls en tout genre de professions qui vivent encore, laissent du moins des Jules Romains qui nous consolent un jour de leur perte. Velleius Paterculus qui composa son histoire vers la quinziéme année de l’empire de Tibere, a fait sur la destinée des siecles illustres qui l’avoient précedé les mêmes refléxions que je viens de faire sur ces siecles-là, et sur les autres siecles illustres qui sont venus depuis que cet historien a écrit. Voici comme il s’explique à la fin de son premier livre. je ne sçaurois m’empêcher de mettre ici sur le papier des idées qui me viennent souvent dans l’esprit… etc.