Page:Dumas - Filles, lorettes et courtisanes.djvu/80

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jusqu’à vingt-cinq ou trente mille francs placés sur le grand-livre.

Les filles qui habitent les grands établissements manifestent nn profond mépris pour les filles en carie, qui leur rendent ce mépris en haine ; c’est l’aristocratie de la prostitution .

Aussi leurs noms se ressentent-ils de leur prétention à une supériorité sociale .


Elles s’appellent

Armide,

Nathalie,

Olympe,

Zulma,

Armande,

Azélina,

Palmire,