Page:Duret - Voyage en Asie.djvu/165

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merie, la soie, la porcelaine, le thé sont des choses que nous n’avons inventées qu’après elle, ou que nous n’avons eues qu’en les lui prenant. Mais en dehors de la sphère des productions matérielles, il est impossible de découvrir à la Chine de véritable grandeur, et si dans ces derniers siècles l’Europe s’est approprié certaines de ses inventions, dans l’ordre moral, à aucun moment, elle n’a trouvé à lui emprunter soit une idée, soit un exemple.