Page:Duret - Voyage en Asie.djvu/314

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sur le pavé, ornés d’arabesques en mosaïque d’une rare élégance ; ils sont entourés d’une balustrade en marbre blanc, découpée à jour en merveilleux dessins et incrustée de mosaïques semblables à celles des tombeaux. Tout cela a l’air d’être sorti de la baguette des fées.

On emporte du Taj une impression ineffaçable. C’est une des œuvres les plus parfaites de cette architecture mahométane qui, indépendamment de la combinaison des lignes, a cherché, par des effets de couleur et d’ornementation, à charmer les yeux et à captiver les sens.