Page:Duret - Voyage en Asie.djvu/98

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tants de la ville, décimés par le fer, l’exil, la misère, ne reviennent que peu nombreux. On voit bien dans un coin de l’immense enceinte surgir une ville nouvelle ; toutefois elle n’occupe encore qu’une faible partie de l’ancienne, et il n’est guère probable que Nankin se relève jamais assez pour être autre chose qu’une ville de ruines.