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cherché et j’ai trouvé. Il ne s’agissait que de tromper les bonnes sœurs… et c’est ce que j’ai fait….
COUPLETS.
I
- Prenant mon air le plus bénin
- Et des allures de novice…
- Il fallait sous mon grand béguin
- Me voir assister à l’Office !
- Les yeux baissés, la bouche en cœur,
- Tout le jour dans le monastère
- J’échangeais ce dialogue austère :
Croisant ses mains sur sa poitrine.
- Ave, ma mère !
- Ave, ma sœur !
II
- La jardinière du couvent
- Qu’un jour je parvins à séduire,
- Me prête enfin ce vêtement
- Qui dehors pouvait me conduire !
- Hier, franchissant, non sans peur,
- La porte du vieux monastère,
- Grand merci, dis-je à la tourière
- Ave, ma mère !
- Ave, ma sœur !
HECTOR.
Très-bien…
MADAME FAVART.
Puis j’ai acheté une vielle… J’ai chanté tout le long du chemin… et me voilà…
HECTOR.
Votre histoire est très-intéressante, mais il faut que je vous quitte.
MADAME FAVART.
Pourquoi si vite ?
HECTOR.
En deux mots voici ma situation… J’adore une jeune