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Sonnets hippiques


Mais ne te cabre pas, tu l’effaroucherais.
J’aurais perdu mon temps. Mes regards de ses traits,
Leur unique aliment, n’auraient pu se repaître…
 
Je veux lui dire un mot. Au pas ! C’est le moment.
Modère ton allure, ô ma brune jument…
Elle passe… Elle a feint de ne pas me connaître.