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LA CONQUÊTE DE PLASSANS.

— Mon paradis reste ouvert, dit-il de son air le plus souriant.

Alors, le président promit de rendre, de temps à autre, une visite à monsieur le curé. Le sous-préfet s’engagea de même, avec plus d’effusion. Et les deux sociétés restèrent encore là cinq grandes minutes à se complimenter, pendant que, dans l’impasse, les rires des demoiselles Rastoil et de l’abbé Surin s’élevaient de nouveau. La partie avait repris tout son feu ; le volant allait et venait, d’un vol régulier, au-dessus de la muraille.