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Page:Emile Zola - La Fortune des Rougon.djvu/359

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LA FORTUNE DES ROUGON.

viné. Ah ! quelle sottise j’allais faire sans toi ! Va, nous ferons nos petites affaires ensemble. Embrasse-moi, tu es une brave femme.

Il la prit dans ses bras, tandis qu’elle échangeait avec le marquis un discret sourire.