Page:Encyclopédie méthodique - Jeux mathématiques, P2.djvu/22

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N. Le pion prend le pion. B. La d.tme reprend le pien. + •• N.. • B. Le pion de la dame ., un pas {t). Le pion du fou du roi, deux pas. 5· N. Lepiondufou durai, deuxFas(2). B.· Le pion du roi, W1 ·pas (3 .) 6.. • N. Lepiondeladame, un pas (4). B. La dame , à la feconde cafe du fou ·de foa roi. (1) Si au lieu de ce pion, i1t-Ûr i~ué le .chevalier du roi à la feconde cafe de fon roi, vous .deviez en tel cas pou !fer le pion dct votre roi en avJnt, pour le foutenir enfuite par celui du fou de votre roi. . (2.) Si an lieu de jouer c~ eton. il eût joué le fou de fa dame a la tro !1ieme cafe de fon roi , -yous autiez d jouer le fou de votre roi à •la troifième cafe de fa darne, & la fituation d u jeu fe feroit trcuvée exaét~ ment fe mblable à celle du fixième coup de la feconde partie ( voyez page 7 5 ) ; mais s’il eût attaqué v otre .ame avec le pion da fou de la fienne, il perdoit de fuite la partie, par rapport que le pion qui forme l’avant- garde de ceux qui font du côté de fa dame, refte en arrière. (Voyez à ce fu jet la notC’ ,._, page 8~ , au dix-huitième coup de la troifième partie . Un r envoi au cinquième coup de cette partie vous en eclaircira encore mieux . ) ( 3) C’eft une règle générale, qu ’il faut é viter de changer le pion de votre roi pour le pion du fou du roi de votre ad verfaire, à moins que " ous n’y foyiez forcé par des inddens qui fe rencontre nt quelquefois daas la défe nfe, mais rareme nt dans l’attaque. Il Efi bon d’obfervtr également la même règle à l’égard du pion de votre dame pour le pion du fou de la fienne , parce qu’ il eft certain~ co mme j’ai déjà dit ail leurs , qur. : le p1on du r oi & celui de la ciame va k· nt mieux que tout autre pioR, puifqu·en fJc ;cltp :mt le cenu·e , ils empêche.nt mi e ux l es p~èces de votre adverfaire de batue fur vous. (4) Si au lieu d e pouffe r le pion, il et1r pris œlu :i l ~ votre roi , vou~ deviez. en tel cas p rt n•irê ra dame’ ~ .enfuite le pio~ ; parc~ Jeux matlzimattques. ECH 7~ N. Le fou de ·la dame , à la troifième cafe de fon roi. B. Le chevali er du roi, à la troifième cafe de fon fou. • 8.. • N. Le chevalier de la dame, à conde cafe dè fa dame. • la fe- B. Le chevalier du roi, à la quatrième .cafe de fa dame. 9· N. Le fou du roi, à la quatrième cafe du fou de fa dame. B.Lepiondufoudeladame, un pas. ~ IO. · · N. La dan1e , à la troifième café de fon chevalie r.. B. Le fou de la ·dame, à la troiiièmc : cafe de fon roi. 1I. N. Le fou du roi prend le chevalier. B. Le pion reprend le fou {)). ’ 11.. N. Le chevllier du roi , à la feconde cafe ~k fon roi. B. Le fou du roi , à la troifième caf~ de fa dame. · qu•en l’empêc hant de roq uer, vous confe rvet. l’.uraqlle fur lui , & par confé quent 1 avantage d•.t j.u ; mais s’il jouoit fa dame à la deuxième C.lfe de fon fou , un de uxième renvoi fur ce fi xiè me coup vous inftruira de la fuite de la • parue. 1 (f) Lorfqu·on fe trouve deux corps de pions fépa ré s du ce ntre, il faut toujours t âch er d’aug·· menter celui qui eft le plus fort ; mais fi vous en avec deux au centre, il faut tâcher d•y réunir autant d~ pion5 que vous pourrez, ay.m t Jéjà o bfervé que les pions du cent re font les meil· 1~ urs & les plus forts : cet avi5 doit vous fer· v ir de règle générale. m • •