Page:Encyclopédie méthodique - Philosophie - T2, p1, CON-F.djvu/389

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38x EP1 EP1 XXXII. II ne fait point les poètes ni leurs Unions tant il eft éloigné de fane des vers Avouez avouez Catis rougir, difoit Métfodore, cité par Plutarque (i) j que vous ne favez pas pour qui combattoi~ Hector, ni quels vers font au milieu ou au commencement du poème d’Homère. Et, Torquatus dansCicéron Anille (fapiens) «MpM ~oe<M~o/w/<~ confumeret, in quibusfolida Mf/ nulla om/ !f/~ ~(7~ f/ ? ~~<5f< !tM> XXXIII. ".Un fage peut être plus fage qu’un autre M fage M. Les floïciens n’en convenoient pas. XXXIV. M5’il eft dans l’indigence, il tirera partie de fa lagefte M. Il en fera des leçons en payant.. < Il relicite ceux qui reviennent à la raifon 8e à la vertu xxxvr. t. It rendra hemmage au prince. ; 6 !e cas

? l’exige M. 

XX XVII. « S’il ouvre une école, fes auditeurs ne feront pas nombreux H y en a une bonne raiibn les leçons de la fageffe ne peuvent être goûtées que par les fois i Se les fage ! qui font faits pour t’entendre font eu petit nombre (i). XX XVIII. <’ S’il récite en public quelque ouvrage de fa » façon. il faudra qu’on l’en ait bien prié M, Epicure rut- fage en ce. point ? 11donna ~oo volumes au public. XXXIX. MIl aura des dogmes, & ne mettra point toutes ~nbsconnoinances en problèmes ~]AdvEpic. ~] Foy~ Sen. ~p. z. On en a dit !a raifon dans la remarque fut Il maxime <r. maxime f. XL. Son ame paifible fera toujous la même dansIl » veille & dans le fommeil XLI. Il donnera,,s’il le faut, fa vie pour fon amio ; Cela n’eft arrivé à aucun épicurien mais cet : feroit poffible. Donner fa vie n’eR pas toujoun un grand préfent, fur-tout pour un difciple d’Epi. cure, qui quelquefois la quitte pour rien & par nmple dégoût. On connoïtiado~riae d’~t~~ & fes maximes’ on a vu fon portrait, à peu de chojfes~rès~ dans le portrait du fage. On le verra mourant dans }’article qui fuit. Lettre <~Epicure JET<nac~j. Cette lettre courte, mais énergique, contient les dernières paroles d’Epicure, & préfente un de ces momens critiques & intérefîans~ où l’homme ~ëdévoile & fe montre tel qu’il eft Nam veraevoces tum demum peNore ab imo Ejiciuntur, k eripitur perfoha, manecres. Lucf. Ht. v. ;7. Elle eit adreCëe à Hermachus fon difciple ; à qm il avoit laiffé par teHame~Mfa chaire, fon jardin avec tes dépendances, pour pauer enfemble à fes fucceueursj à perpetuité. Diogène Laërce fuppofe qu’elle a été écrite à Idoménée ; Cicéron, qu’elle le fut à Hermachus peut-ttre le fut-elle à tous deux, le texte portant w~M. Nous avons fuivi la leçon de Cicéron uniquement pour prendre un parti dans une chofe indifférente par elle-même voici cette l~tre tetio que Cicéron l’a traduite. Epicurus Hermache~ S. Cum ageremusftM ~MMM & eundem~fp~MMM diem, y~mM ~4c. Tanti autem morbiaderant f~e<t &fz/e~M ut nihil ad to/M magnitudinem ~e~ct ~C( :c~re.Compexfabaturtamen cumhis omnibus <M{/Kt/<t~ft~ ~MM capiebam memorid raiionum t’/tVMfO/m~ KO/ ?/’onïM(~). Sed tu, ut dignum XXX V. 1 (3) Gaftsndi accufe Plutarque d’avoit altéré le texte d’Epicure en lifantfojm’~t’) r<~ < !C !TA6A<tt<ayt6M)’ <r~ !’f* pov !}<~)~ au lieu de lire, comme DiogèneLaërce& comme Cicéron a !ù,’ à en juger par fa traduétion. tp’< Tt ?w yty~t<Ta ;) !;)~t ;tt~efAoy~~e~. jMeM ;<A :M Epicurum po~t ~ !f/<<u~carp ere ferta detorfit <mfM* Wi<. De Vh &M. Epie. t. III. 3. 7.