Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 06.djvu/88

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dottieri d’Italie, étaient autant coupe-jarrets que soldats, et l’un de nos princes à qui l’histoire donne des proportions héroïques, notre Richard, le chevalier, rival de Philippe de France, ne dédaigna point, dit-on, l’aide des archers de Robin-Hood, pour remonter en vainqueur les degrés du trône de ses pères. Or Robin de Norwood était, n’en déplaise au chantre divin de Wilfrid d’Ivanhoe, l’un des plus sanguinaires bandits qu’ait produits l’Angleterre.

Sol fertile, pourtant, terre classique des bandits sans pitié !

Angelo raisonnait ainsi, — ou peut-être autrement et beaucoup mieux. Toujours est-