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LA MORT DU GEAI
erché dans la cime d’un hêtre,
Il jasait au soleil couchant ;
Et je comprenais que son chant
Disait : « Comme on est heureux d’être !
« L’hiver, il est vrai, n’est pas loin ;
« Mais l’automne mûrit les faînes,
« Et je cueille aux branches des chênes
« Tous les glands dont j’aurai besoin.