Page:Farrere - Mademoiselle Dax.djvu/66

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— Naturellement oui, c’est tout. Qu’est-ce qu’il te faut de plus ?

Madame Dax repliait la lettre, la réintégrait dans l’enveloppe, et enfouissait le tout dans son réticule.

— Ainsi, encore une corvée ! Bonté divine !… Alice, nous irons demain, à trois heures.

— Oh ! moi aussi ?

— Naturellement, toi. Est-ce que tu te figures que je vais aller seule chez cette dame que je ne connais pas ? Si tu avais un peu de cœur, ma fille, ça t’aurait paru tout simple d’accompagner ta mère, et de prendre ta part des ennuis qu’elle a… Mais non !… Ah ! ton mari aura du plaisir avec toi !