Il chante sur l’air de Tout à la joie de Fahrbach.
Ô rage ! ô désespoir ! ô vieillesse ennemie !
Ah ! ah ! ah !
N’ai-je donc tant vécu que pour cette infamie !
Ah ! ah ! ah !
Eh bien ! ce serait tolérable : il y aurait une excuse ! mais sans cela il n’y en a pas.
L’autre jour, j’étais en chemin de fer ; dans le même compartiment, il y avait un monsieur. Nous n’étions que deux… lui et moi ! C’était un Anglais… ou, du moins, il en avait l’accent… quand il parlait… mais il ne parlait pas. Tout à coup, entre deux stations, il se met à remuer, à se tortiller, avec un flegme britannique ; puis, soudain, il desserre les dents… des dents britanniques, comme le flegme ; et je l’entends murmurer : « Oh ! yes, yes, water-closet ! oh ! là ! » J’ai compris que c’était de l’anglais. Un monologue en anglais, passe