Page:Feydeau Occupe toi d Amelie.djvu/113

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MARCEL.

N’est-ce pas ?

VAN PUTZEBOUM.

Eh ! sûr donc ! (Se tournant vers Pochet.) N’est-ce pas, monsieur ?

POCHET, modeste.

Ben… c’est ma fille.

VAN PUTZEBOUM.

Ouyouyouye ! oui ? Eh bien ! je te complimente !… Vous savez faire, savez-vous.

POCHET, même jeu.

On s’est mis deux, je vous dirais !

VAN PUTZEBOUM, avec un gros rire.

Ouie, ça je pense !… On s’est mis deux ! (Se tournant inconsidérément vers Amélie.) On s’est mis d… (S’arrêtant, interdit, et bas à Pochet.) Oh ! oh ! devant elle… Gotferdom !

POCHET, sur le même ton que Van Putzeboum.

Oh ! oui, oui ! c’est juste !

VAN PUTZEBOUM, à Pochet.

Monsieur d’Avranches, n’est-ce pas ?

POCHET.

Hein ? Pochet !

Amélie et Marcel lui font vivement des signes d’intelligence dans le dos de Van Putzeboum.

AMÉLIE.

Hum !