Page:Feydeau Occupe toi d Amelie.djvu/212

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quand il était joyeux… Ça était triste ! missait, il gémissait !

MARCEL.

Là ! ben, vous voyez !

VAN PUTZEBOUM.

Et il me léchait ! il me léchait !

MARCEL, le regardant, ahuri.

Hein !

AMÉLIE.

Qui ?

VAN PUTZEBOUM.

N’poleion premier donc ! Mon bouledogue. (Caressant machinalement la nuque de Marcel.) Si vous aviez vu la gueule qu’il avait !

MARCEL, dégageant sa tête et avec humour.

Allons ! voyons donc !

VAN PUTZEBOUM.

Ah ! C’était ça une bonne bête !

MARCEL.

Je suis vraiment heureux de vous l’avoir rappelé.

VAN PUTZEBOUM, se levant, et tout en parlant gagnant jusqu’au lit pour parler à Amélie.

Mais je bavarde, je bavarde, ça est pas tout ça, filske ! Maintenant que je t’ai vu… ta fiancée se faut s’habiller, n’est-ce pas ? et moi, je gêne !