Page:Feydeau Occupe toi d Amelie.djvu/368

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AMÉLIE, subitement pudique.

Ah ! mais que vois-je ! Je suis là à demi-nue… Oh ! vraiment !…

Elle remonte Jusqu’à la ruelle du lit prendre une matinée pour s’en revêtir.
LE PRINCE, à Marcel, tout en se dirigeant vers Amélie.

Vraiment ! Oh ! excusez-la, monsieur Amélie !

MARCEL.

Comment m’appelle-t-il ?

LE PRINCE, à Amélie.

Voulez-vous me permettre de vous aider à passer votre kimono ?

AMÉLIE, passant sa matinée avec l’aide du prince.

Volontiers, monseigneur… Merci ! (Descendant n° 2.) Et maintenant, monseigneur, vous ne pouvez rester davantage !

LE PRINCE, ahuri.

Quoi ?

AMÉLIE.

Je suis désolée, mais ma nouvelle situation… !

LE PRINCE, n’en croyant pas ses oreilles.

Hein ? Comment, mais… ! mais je viens pour… !

D’un geste de la tête, il indique le lit.
AMÉLIE, faisant un pas en arrière dans la direction de son mari et pour rappeler le prince aux convenances.

Monseigneur !