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CORRESPONDANCE

J’espère qu’à la fin de la semaine prochaine vous prévoirez l’époque de votre départ.

Ton vieil oncle qui t’aime.

Mme Touzan doit t’écrire pour te demander des explications relatives à la tapisserie. Vous voyez, mademoiselle, qu’on fait vos commissions.


772. À JULES SANDEAU.
Lundi matin [Paris, décembre 1863].

Je ne vais pas vous voir parce que je vous suppose dans tous les embarras d’une première.

Quand a-t-elle lieu ? Est-ce demain ou après-demain ? J’aurais besoin de le savoir.

Et ma place (ou mes places) ? Comment les aurai-je ?

Bonne chance, et mille bonnes tendresses.


773. À SA NIÈCE CAROLINE.
Paris, mercredi matin, 10 heures
[milieu de décembre 1863].
Mon loulou,

J’attends Pagnerre à déjeuner et j’ai encore ma toilette à faire. La féerie est annoncée et attendue au Châtelet. Demain matin je donne la copie. Quand elle sera copiée et pendant que notre sort se décidera, j’irai vous faire une visite, c’est-à-dire, je pense, dans huit à dix jours. À 1 heure précise je vais tantôt la lire à MM. Durandeau, l’auteur