trop nerveux pour renouveler de pareils exercices. Palpitations, tremblements, étreintes à la gorge, etc. Oh ! rien n’y manque. Je préfère me livrer à des œuvres plus longues, plus sérieuses et plus calmes.
À l’heure qu’il est, je ne sais pas comment j’ai la force de vous écrire. C’est uniquement pour vous remercier de vos deux adorables lettres, restées sans réponse.
Je serai à Paris dans une quinzaine ; n’y venez pas avant. D’ici là, je vous baise les deux mains très longuement.
Je n’ai pas besoin d’avoir recours à Du Camp ; je connais M. Dumesnil, qui est un fort aimable homme, et j’irai le voir dès que je serai à Paris.
Écris donc à ton fils de venir me trouver dimanche prochain. Tu penses bien que je ferai pour ton cher Guy tout ce que je pourrai à cause de toi, à cause d’Alfred et à cause de lui, car c’est un charmant garçon que j’aime beaucoup.
Nous aurions bien voulu te posséder ici pendant quelques jours. Comme nous aurions causé du vieux temps !
Tu m’affliges avec cet appauvrissement du