Page:Flaubert Édition Conard Correspondance 9.djvu/46

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
40
INTRODUCTION À L’INDEX.

l’étude de Flaubert, l’index que voici pourra déjà, espérons-nous, rendre quelques services.

Tous les noms propres, à l’exception des noms de rues[1] ou de quelques autres aussi dépourvus d’intérêt[2], ont été relevés et catalogués. Ils ont trouvé leur place dans l’index, même lorsqu’ils ne sont pas exprimés : c’est ainsi que, lorsque Flaubert parle de Madame Bovary en disant « mon bouquin » ou même « mon travail », lorsqu’il fait allusion à un personnage sans le désigner nommément (par exemple « j’ai reçu un ami qui… » ), nous avons noté le passage le plus souvent possible. Mais nous n’avons indiqué ces allusions que lorsqu’elles étaient absolument sûres[3]. De même, nous n’avons pas cherché à identifier les personnages douteux, ni ceux que désigne une simple initiale.

Pour alléger l’index, nous avons évité de transcrire sous le nom des auteurs ce que dit Flaubert de leurs œuvres : nous nous contentons de renvoyer aux titres mentionnés dans la Correspondance.

Lorsqu’un nom est cité plusieurs fois dans une même page, nous avons fait un ou plusieurs renvois selon l’importance des idées exprimées ; si par exemple on trouve à la même page : « Bouilhet a passé la soirée avec moi » et plus loin : « Le

  1. Encore avons-nous dans certains cas indiqué des noms de rues, la rue de Courcelles, par exemple, où habitait la princesse Mathilde.
  2. Nous nous sommes généralement dispensés de noter les noms des personnages dans les romans critiqués par Flaubert, il suffira de se reporter au titre du livre.
  3. Ces allusions s’éclairent le plus souvent par des rapprochements avec d’autres lettres.