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THEATRE.
HUITIÈME TABLEAU.
LA FORÊT PÉRILLEUSE.
Scène première.
DOMINIQUE, seul.
Il arrive par la droite, à petits pas, en regardant
de tous les côtés.
de tous les côtés.
Perdu pour avoir quitté mon maître une minute ! Où est-il donc ?
Il crie.
Monsieur ! Monsieur !… Absent ! Eh ! c’est sa faute… Quelle diable d’idée a-t-il avec ses gnomes et son château des Cœurs ! Cherchons-le cependant ! Monsieur !… Ah bien oui ! cours après. Mais des yeux brillent dans les feuilles… Eh non ! c’est le soleil sur la mousse ! Il y a de ces effets-là dans les bois ! Continuons !… On marche ! Un oiseau qui s’envole. Suis-je bête ! Il n’en faudrait pas moins sortir d’ici ! Essayons !
Une branche le cingle.
Ah !
Il se détourne.
Personne. Dieu soit loué ! Scélérates d’épines, va ! Gueuses de branches ! Plus j’avance, plus je m’empêtre !
Les arbres le frappent avec leurs branches.
Mais… Mais… J’ai toute la forêt sur les épaules !