molécule, si elle n’était point compensée par celle qui se perd dans un autre sens.
On trouve, de la même manière, qu’à travers le plan perpendiculaire aux et passant par le point m, il entre dans la molécule une quantité de chaleur égale à et que la quantité qui sort par la face opposée est
cette dernière différentielle étant prise par rapport à seulement.
Donc la différence de ces deux quantités, ou
exprime combien la molécule acquiert de
chaleur, à raison de la propagation dans le sens des
Enfin on démontre de même que la molécule acquiert, à raison de la propagation dans le sens des une quantité de chaleur égale à Or, pour qu’elle ne change point de température, il est nécessaire qu’elle conserve autant de chaleur qu’elle en contenait d’abord, en sorte que ce qu’elle en acquiert dans un sens serve à compenser ce qu’elle en perd dans un autre. Donc la somme des trois quantités de chaleur acquises doit être nulle ; et l’on forme ainsi l’équation
124.
Il reste maintenant à exprimer les conditions relatives à la surface. Si l’on suppose que le point m appartient à l’une des faces de la barre prismatique, et que cette face est perpendiculaire aux on voit que le rectangle laisse