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THÉORIE DE LA CHALEUR.
pératures diminue donc comme l’ordonnée d’une logarithmique,
ou comme les puissances successives de la fraction
On a pour les valeurs de et
250.
On suppose, dans le cas qui précède, que la masse infiniment
petite au moyen de laquelle s’opère la transmission,
est toujours la même partie de l’unité de masse, ou,
ce qui est la même chose, que le coëfficient qui mesure
la conducibilité réciproque est une quantité constante. Pour
rendre la recherche dont il s’agit plus générale, il faudrait
considérer le coëfficient comme une fonction de deux
températures actuelles et On aurait alors les deux
équations et
dans lesquelles serait égal à la fonction de et que
nous désignons par Il sera facile de connaître la loi
que suivent les températures variables et lorsqu’elles
approchent extrêmement de leur dernier état. Soit une
nouvelle indéterminée égale à la différence entre et la
dernière valeur qui est ou Soit une seconde
indéterminée égale à la différence On substituera au
lieu de et leurs valeurs et et, comme il
s’agit de trouver les valeurs de et de lorsqu’on les suppose
très-petites, on ne doit retenir dans les résultats des
substitutions que la première puissance de et de On
trouvera donc les deux équations