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LA LANGUE FRANÇAISE AU CANADA

en particulier : c’est bien davantage encore leur nombre et leur profusion ; c’est l’impression en quelque sorte troublante, à la longue, qui se dégage de leur pullulement ; c’est enfin le parti pris, non pas accidentel, non pas même fréquent, mais continuel, mais incessant, mais acharné, dont tout l’ensemble témoigne, le parti pris violent et presque maladif d’étonner. — Comme je ne puis pourtant songer à dresser ici le tableau complet de ces trouvailles avec ou même sans glossaire, je n’en retiendrai, avec votre permission, que les plus typiques ou les plus réjouissantes (vous diriez, j’imagine, en votre idiome : les moins génératrices de morosité ).

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