Page:Fréchette - Les Fleurs boréales.djvu/78

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L’aigle, ami des déserts, dédaigne ainsi la plaine.
LAMARTINE.


 
Quand l’aigle est fatigué de planer dans la nue,
Retraversant l’espace en son vol triomphant,
Il revient se poser sur la montagne nue,
Qui tressaille d’orgueil en voyant son enfant !