Page:Francisco de Holanda - Quatre dialogues sur la peinture - 1548-1911.djvu/47

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PROLOGUE
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En outre, parce que d’aucuns estiment que je rougis d’être peintre, moi qui n’ai, après ma qualité de chrétien, gloire ni vanité plus grande que mon ambition de l’être, je prétends, en ce livre, démontrer sous forme de dialogue quelle glorieuse et noble chose c’est que d’être peintre, et combien difficile ; quelle est, dans un état, l’utilité et l’importance de l’illustre et très nécessaire science de la peinture en temps de paix comme en temps de guerre ; enfin, les prix et valeur de la peinture en d’autres pays.