Page:Fromentin - Dominique, 1863.djvu/34

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vie, mais avec infiniment de grâce et de manières.

Cette année-là, nos relations n’allèrent pas beaucoup plus loin : une ou deux chasses où M. de Bray me pria de prendre part, quelques visites reçues ou rendues, et qui me firent mieux connaître les chemins de son village qu’elles ne m’ouvrirent les avenues discrètes de son amitié. Puis novembre arriva, et je quittai Villeneuve sans avoir autrement pénétré dans l’intimité de l’heureux ménage : c’est ainsi que le docteur et moi désignions dorénavant les châtelains des Trembles.